La période est plus marquée par la stigmatisation des « obscurantistes » (anti-masques, anti-vaccins…) que par l’interrogation de la crise de la parole scientifique – crise à laquelle, avec leurs propres biais idéologiques, les scientifiques ont contribué. Comment restaurer les conditions d’un débat démocratique équilibré sur les grandes questions sanitaires, environnementales et climatiques ?